Para poder poner en práctica un tiempo verbal en la clase de francés, los alumnos de 4º ESO y 1º y 2º de Bachillerato del IES Foramontanos de Cabezón de la Sal realizaron un ejercicio que les propuso su profesora: trasladarse en el tiempo e imaginar para luego describirse utilizando el «Imperfecto». Tras la explicación de su profesora, podrás leer sus producciones en francés -acompañadas de su correspondiente traducción-.
ASÍ SE PLANTEÓ EL TRABAJO
Nous avons abordé en classe l´étude du passé, l´IMPARFAIT, tout particulièrement. Pour le mettre en pratique, j´ai proposé aux élèves de la 4ème année d´ESO, et à ceux du BAC, une activité motivante: j´ai leur ai fourni une feuille sur laquelle ils devaient chercher leur date de naissance et le personnage «historique» correspondant. Ils se sont donc mis dans la peau de ce personnage-là.
En voici leurs productions, dont certaines pleines d´imagination…..
Toutes ces productions écrites ont été dirigées et coordonnées par Begoña López , prof de français au I.E.S. «Foramontanos»
En clase, hemos trabajado el pasado , concretamente «el Imperfecto» , con alumnos de 4° de E.S.O y de 1° y 2° de Bachiller. Así pues, les propuse una actividad motivadora para poner en práctica este tiempo verbal. Para ello, les proporcioné una hoja en la que debían buscar su fecha de nacimiento y el personaje «histórico» que les correspondía. Su tarea consistía en imaginarse que eran ese personaje, por lo que debían describir la época en la que vivían, su casa, su vestimenta, su carácter…
A continuación, os presento sus producciones escritas, llenas de imaginación, algunas de ellas.
Sus trabajos han sido coordinados y dirigidos por Begoña López profesora de francés del «I.E.S. Foramontanos».
COMPOSICIONES
J’ÉTAIS UN SÉDUCTEUR…
Por Jorge García Mier, alumno de 4º ESO
J’ habitais dans un château en Castille, en Espagne. Je parlais espagnol et français. Mon château était au milieu de mes grands terrains. J’avais trente-cinq jeunes femmes de chambre qui travaillaient dans le château à mon service, soixante dix campagnards qui travaillaient dans mes terrains et une Armée avec cent soldats pour défendre mes propriétés. J’avais tout ceci parce que mon père et ma mère étaient morts et j’étais leur héritier. Mon père était un grand ami du roi et moi aussi. J’allais à toutes les fêtes du palais du roi.
Je n’étais pas ouvert et tolérant. J’étais beau, intelligent et patient. J’avais beaucoup d´amants , bien -sûr.
Yo vivía en un castillo en Castilla, en España. Hablaba español y francés. Mi castillo estaba situado en medio de mis grandes posesiones y tenía, además, un ejército de cien soldados. Era dueño de todo esto porque mi padre y mi madre habían muerto y yo era su único heredero. Mi padre era un gran amigo del rey y yo también. Iba a todas las fiestas que se celebraban en su palacio.
No me consideraba una persona tolerante. Sin embargo, era guapo, inteligente, paciente y tenía, por supuesto, muchas amantes.
UNE VIE DE COURTISANE
Por Susana García Martínez., alumna de 4º ESO.
J’habitais en France dans un grand palais en 1675, au XVII siècle.
Ma famille était riche: elle avait de grands terrains.
Mes vêtements étaient incroyables, ravissants: je portais une grande perruque blanche , des vêtements de longues traînes et de profonds décollétés.
Ma maison était un grand palais, avec beaucoup de domestiques, je possédais une grande maison à Paris et une autre à la campagne.
J´étais arrogante et capricieuse…
Je parlais la langue française et un peu d’italien; je jouais du piano, dans les soirées chez moi et chez mes amis et parfois, je chantais.
J’avais beacoup d´ amants, évidemment j’étais une femme riche, intéréssante, et très belle.
Era el Siglo XVII. En 1675, yo vivía en Francia en un gran palacio. Mi familia era rica, pues tenía grandes terrenos.
Mis vestidos eran increíbles y encantadores: llevaba una gran peluca blanca, vestidos de largas colas y profundos escotes.
Mi casa era un gran palacio, así que tenía muchos criados, que se ocupaban de una gran casa en París y otra en el campo.
Yo era arrogante y caprichosa.
Hablaba la lengua francesa y un poco de italiano, tocaba el piano en las veladas en mi casa, en la de mis amigos y, a veces, cantaba.
Evidentemente, tuve muchos amantes, yo era una mujer rica, interesante y bella.
UNE VIE DE SORCIÈRE
Por Tamara Martino González, alumna de 4º ESO.
J´ habitais dans une grande ville à Cáceres. Je vivais avec mes deux soeurs et mon chat noir; il s’appelait Orion.
J’ habitais dans une grande et vieille maison noire. Elle avait tout autour un bois enchanté. J’avais beaucoup de vêtements noirs, et un chapeau long et noir, aussi,et j’ avais évidémment des chaussures noires.
J’étais méchante et autoritaire.
Je changeais les femmes et les hommes en animaux. Je parlais la langue de l´ Espagne, mais je pouvais aussi parler d´autres langues.
Vivía en una ciudad grande en Cáceres, con mis dos hermanas y mi gato, que se llamaba Orión.
Vivía en una casa grande y vieja de color negro y alrededor de ella había un bosque encantado.
Tenía bastantes vestidos de color negro, un gorro largo y negro, y llevaba también, claro está, zapatos negros.
Era malvada y autoritaria.
Transformaba a las mujeres y a los hombres en animales y además de español, hablaba otras lenguas.
J’ÉTAIS UN REBELLE…
Por Fran Ruiloba, alumno de 4º ESO.
Dès ma jeunesse mon hantise contre la tyrannie a commencé à apparaître. J’ai été renvoyé de l’école pour me révolter contre l’autorité des professeurs. C´est pour ceci que maintenant je me cache dans les rues pour assassiner les tyrans, qui dominent les citoyens.
Tu ne me demandes pas pourquoi je le faisais? C´était simplement mon instinct destructif. Je devais détruire tout ce qui m´étranglait. Vous m’appelez rebelle, mais je suis seulement un animal d´instincts, j´ai besoin de détruire, bien que ceci me coûte la vie.
… Et maintenant je me vois ainsi, verrouillé dans une chambre, pour ne pas savoir contrôler mon instinct, maintenant… j´ai seulement besoin de paix, j’ai besoin de mourir…
Desde joven mi obsesión contra la tiranía comenzó a aparecer. Me expulsaron de la escuela por rebelarme contra la autoridad de los profesores. Es por esto por lo que ahora me escondo entre las calles por asesinar tiranos que dominan a los ciudadanos.
No me preguntes por qué lo hago. Es simplemente mi espíritu destructivo. Necesito destruir todo aquello que me ahoga. Vosotros me llamáis rebelde, pero yo se que solamente soy un animal de instintos. Necesito destruir, aunque me cueste la vida.
… Y ahora me veo aquí, encerrado en una habitación, por no saber controlar mis instintos, ahora… necesito solamente paz, necesito morir….
MA VIE COMME SORCIÈRE
Por Beatriz García Álvarez, alumna de 2° BCS
J’ai vécu à une autre époque, une autre vie différente…
En effet, j’étais une sorcière du XIIème siècle. Mes vêtements étaient des robes longues et noires, et j’habitais toute seule, au Nord de l’Ecosse. Je vivais au milieu d’un bois, dans une petite maison rustique. J’étais une personne tranquille. La nature était mon moyen de vie et me procurait ma nourriture et les ingrédients nécessaires pour les potions magiques. Je faisais des ensorcellements en utilisant tout : la nourriture, le temps, etc., et je pratiquais le tir à l’arc, comme loisir. Jusqu’ici, ma vie était tranquille et sans sursauts. De toute façon, les gens de la ville ne se sentaient pas très à l’aise avec moi, mais ils ne me dérangeaient pas.
Un jour, je suis sortie chasser quelque chose pour dîner. Je regardais un buisson qui bougeait, et quand j´étais sur le point de tirer, une fille de huit ou neuf ans est sortie du buisson. Elle pleurait. Elle était sortie à midi pour chercher des champignons, et elle s’était perdue. Je l’ai donc emmené chez moi, parce que c’était trop tard. Le lendemain, je l’ai rendue à sa famille. Sa mère était très heureuse, et elle m’a invité a manger. Quand je suis sortie de chez elle, les gens de la vie m’on fait un cadeau. Dès ce jour-la, j’aide les paysans à prévenir les mauvaises récoltes et ils me donnent, à leur tour , des herbes très bizarres pour mes potions.
Viví, en otra época , una vida diferente…
Así es, en el siglo XXII, fui una bruja. Llevaba vestidos largos y negros y vivía, yo sola, en el norte de Escocia. Mi pequeña casa rústica, estaba emplazada en medio de un bosque. Era una persona tranquila. La Naturaleza era mi medio de vida y la que me procuraba mi alimentación y los ingredientes necesarios para las pociones mágicas. Realizaba embrujos utilizando todo de lo que disponía : alimentos, tiempo… y en mis ratos libres, me dedicaba a practicar el tiro al arco. Hasta aquí, mi vida transcurría de forma tranquila y sin sobresaltos. De todos modos, la gente que me rodeaba, desconfiaba de mí, pero no me molestaba en absoluto.
Un día, salí a cazar para la cena. Me fijé en un matorral que se movía y cuando estaba a punto de disparar, una niña de unos ocho o nueve años, apareció súbitamente entre el matorral. Se puso a llorar, mientras me contaba que había salido a mediodía a buscar setas y se había perdido. Decidí llevarla a mi casa, porque era muy tarde. Al día siguiente, la llevé a su hogar. Su madre, al vernos llegar, saltó de alegría y me invitó a cenar. Cuando salí de esta casa, la gente del pueblo, en señal de agradecimiento, me hizo un regalo.
A partir de ese día, ayudo a los campesinos a evitar las malas cosechas y ellos, a su vez, me regalan hierbas muy raras para mis pociones mágicas.
UNE EXPLORATICE
Por Ana Gutiérrez González, alumna de 2º BH.
J’étais une exploratrice du XIX ème. siècle.
J’étais une personne très responsable, sympa, très travailleuse, tranquille et j’adorais mon travail.
J’étais mariée avec Christian qui était un bon aventurier. Nous avions deux enfants: une fille et un garcon. Mes parents étaient très heureux et sympas et ils nous aidaient avec les enfants quand nous étions loin.
Mon pays était la Grèce. C’était un endroit où l’on pouvait admirer des paysages formidables, incroyables et très intéréssants, aussi bien dans les îles que- comme tout le monde sait- il y a beaucoup de choses à voir, que dans la peninsule.
Quant à la façon où j’étais habillée, je portais un tailleur noir avec une cape noire aussi, un chemisier blanc, un chapeau noir et finalement, des chaussures noires .
Quand j’étais en Espagne, je vivais à Madrid avec ma famille dans un xalet. Le xalet était grand, joli et très confortable.
Je parlais grec, mais espagnol et anglais aussi.
Je faisais beaucoup de voyages en Afrique et avec mon mari on a fait d’importantes découvertes archéologiques et speléologiques.
En effet, nous avons découvert une petite grotte et une petite île aussi, et de vestiges archéologiques uniques.
Bref, j’étais très heureuse
Yo era una exploradora del siglo XIX, una persona muy responsable, simpática, muy trabajadora y además me encantaba mi trabajo.
Estaba casada con Christian, un buen aventurero. Teníamos un niño y una niña. Mis padres, gente muy simpática y feliz, nos ayudaban mucho con los niños cuando estábamos lejos de casa.
Grecia era mi país de origen. Un lugar donde se podían admirar paisajes maravillosos, increíbles y muy interesantes, tanto en las islas, donde, como todo el mundo sabe, hay muchas cosas que ver, como en la península.
En cuanto a mi manera de vestir, solía llevar un traje negro, con una capa negra, una blusa blanca y zapatos, también negros.
Cuando estaba en España, vivía con mi familia en Madrid en un chalet grande, bonito y muy cómodo.
Hablaba griego, pero además, inglés y español.
Viajábamos mucho a África, donde habíamos realizado importantes descubrimientos arqueológicos y espeleológicos. Así es, habíamos descubierto una pequeña cueva , una islita y vestigios arqueológicos únicos.
En una palabra, era muy feliz
UNE SORCIÈRE
Por Rocío Escudero Tourón, alumna de 4º ESO
J´habitais en Autriche.
Je n´avais pas de famille, je pensais seulement à un miracle révolutionnaire.
Mon père était professeur de chimie et ma mère était étudiante dans un collège de Newton.
Nous étions une famille riche.
Dans ma maison, il y avait un laboratoire où je faisais des expérimentes.
J´avais une barne et un cousiner.
J´habitais avec un intellectuel pour éprouver des choses spectaculaires.
Mais le succès n´était pas pour moi, le succès était pour un explorateur, Cristóbal Colón.
Je ne pensais pas qu´il était quelqu´un de spectaculaire.
Je n´étais pas amoureuse de lui et je n´avais pas de futur.